Editeurs du mois : Partenaires du projet FCRBE

L’aventure continue

L’annonce a été faite officiellement et publiquement lors de l’événement annuel de la Plateforme réemploi du 7 octobre, Léa de chez Rotor venait nous présenter la suite du projet FCRBE. Nous avons eu encore plus d’informations lors du Final Event du projet FCRBE organisé à Bruxelles Environnement le 16 novembre.

Le projet FCRBE continue jusqu’en décembre 2023 sous forme d’un package de nouvelles actions s’organisant autour de 2 axes. D’une part des actions pour engager d’autres acteurs clés du secteur, les métiers spécialisés et les assureurs, avec des outils adaptés, des ateliers et des expériences sur terrain, mais aussi des actions de communication auprès des utilisateurs finaux pour informer et inspirer les groupes cibles. D’autre part, il y aura également la mise en place d’une méthode pour définir, suivre et rendre compte des efforts de réutilisation dans le contexte des projets de construction et des politiques publiques et la création d’un tableau d’objectifs indicatifs de réutilisation pour des typologies de projets spécifiques, basé sur l’analyse de 30 projets caractéristiques dans les pays concernés. Continuez à rester connecté à Opalis car le catalogue de projets va continuer à s’étoffer !

 

Mais nous sommes toujours en décembre, le Call for Capitalisation commencera début 2022 et avant de lancer ses prochaines actions, revenons sur celles qui ont vues le jour ces deux dernières années et qui de mieux pour en parler que les partenaires du projet eux-mêmes ?

Rotor, Bruxelles Environnement, la Confédération Construction et Salvo font un bon dans le temps pour revenir sur l’expérience qu’ils ont vécue durant ces trois dernières années de projet.

 

Commençons avec Rotor. En tant que Lead Partner, leur équipe a été pendant deux ans le lien entre les différents partenaires impliqués dans le projet, belges, français, et anglais ? Il leur a fallu jongler entre leur rôle de coordinateur ainsi que leur rôle d’expert sur plusieurs délivrables.

« Du fait de notre position de Lead Partner, nous avons été impliqué, ne fut-ce que ponctuellement, sur quasiment tous des délivrables du projet. Il est difficile de dire sur lequel nous avons préféré travailler… S’il fallait n’en choisir qu’un, de notre point de vue la production des 36 fiches matériaux a clairement représenté un beau challenge ! C’était un gros défi de bout en bout, que ce soit pour la production du contenu, la gestion des relectures, le travail de mise en plage ou encore celui des traductions – que nous avions clairement sous-estimé. C’était aussi un délivrable qui faisait le lien avec pas mal d’autres activités du projet dans lesquelles nous nous sommes également beaucoup investis : les visites auprès des revendeurs, les opérations pilotes, les méthodes de passation des marchés… Au final, nous sommes assez satisfaits du résultat. » Lire la suite – ici 

 

Et vous Bruxelles Environnement, que pouvez-vous nous dire sur votre expérience dans le projet ? « A travers le projet FCRBE, nous avons eu la chance de développer des collaborations riches avec des partenaires motivés, convaincus par le travail conjoint réalisé et très complémentaires (privé-public). Dans ces conditions, c’est un plaisir de mener à bien ce type de projet qui permet véritablement de faire évoluer la question du réemploi comme une pratique circulaire à part entière dans le secteur de la construction.»  Lire l’article – ici.

 

Salvo, what about you ? « Au cours des trois dernières années, Salvo a visité 100 entreprises de récupération, pris plus de 5000 photos et consommé de grandes quantités de thé, tout cela au nom de l’augmentation de la réutilisation dans notre environnement bâti. Le projet FCRBE nous a donné l’opportunité de visiter et de partager l’incroyable scène de la récupération à travers le Royaume-Uni et l’Irlande. » Lire l’article – ici.

 

C’est la Confédération Construction qui clôture ce petit reportage de témoignages, « J’ai fait la connaissance de porteurs de projets, architectes, maitres d’ouvrages, entreprises, professeurs, … qui abordent le réemploi avec une telle positivité, que les obstacles techniques ou économiques ne sont plus que de petits obstacles qui tombent facilement grâce aux outils de FCRBE et à une approche méthodique. », « Les Confédérations des 3 régions ont collaboré sur ce travail vaste, en relation avec d’autres acteurs et des partenaires de terrains qui a permis de faire des constats sur le réemploi d’éléments de construction tout au long du projet, et de voir ses outils être appliqués par des acteurs du secteur motivés et il n’y a rien de plus encourageant pour la suite du projet FCRBE.»

 

Auteur de l’article : Confédération Construction Bruxelles-Capitale